Une baby-sitter du Wisconsin accusée d’avoir tué le chien de la famille

Une femme de 18 ans de Sussex, dans le Wisconsin, accusée d’avoir tué le chien d’une famille, a nié les accusations portées contre elle lors de son procès le 28 février.

Kielee Sonnemann, lycéenne en dernière année, a poignardé mortellement le chien de 8 ans pendant l’absence de ses maîtres. Elle gardait la fille de la famille, âgée de 4 ans, le jour du meurtre.

La baby-sitter accusée d’avoir tué un chien plaide non coupable pour cause d’aliénation mentale

Selon CBS 58 News, l’horrible incident s’est produit le 28 janvier. Mme Sonnemann aurait attaqué le chihuahua nommé Batman avec une paire de ciseaux avant de lui couvrir la tête avec un sac en plastique. Elle a ensuite caché le cadavre sous une pile de couvertures et d’animaux en peluche dans l’une des chambres de la famille.

TMJ4 News a précédemment rapporté que lorsque les parents de l’enfant sont revenus à la maison, ils ont réalisé que Batman n’était pas là et ont commencé à le chercher partout dans la maison. En fait, Sonnemann s’est même joint à la recherche. Les propriétaires ont appelé les autorités lorsqu’ils ont découvert le corps de Batman, qui avait été poignardé.

Interrogée par la police, la jeune femme de 18 ans a affirmé qu’elle l’avait seulement « repoussé un peu » et que « lorsqu’elle s’énerve et s’emporte, tout devient flou et elle ne se souvient de rien ».

Le couple en deuil, Shelly et Justin Ciardo, tente de faire face à la mort tragique de Batman.

« C’est la chose la plus difficile. Les émotions vont de la tristesse à la folie. Il n’y a jamais rien de plus que cela », a déclaré Shelly, la propriétaire du chien, au média.

Ciardo a commenté la disparition prématurée de Batman : « C’est dur. C’est difficile parce qu’évidemment tout vous rappelle l’animal que nous avons perdu ».

Chose étonnante, le couple et la famille de Sonnemann se connaissaient. Sonnemann avait même fait du baby-sitting pour eux à plusieurs reprises dans le passé.

« Il n’y avait aucune raison de penser que quelque chose n’allait pas. Il n’y avait aucun signe. Rien n’a été dit qui nous ait donné à penser qu’une chose aussi horrible pouvait se produire », a déclaré Ciardo, désemparé.

Mercredi, Mme Sonnemann a plaidé non coupable pour cause d’aliénation mentale. Lors de sa première comparution devant le tribunal au début du mois, l’accusée a déclaré qu’elle prenait des médicaments pour une maladie mentale. Sonnemann doit revenir devant le tribunal le 6 mai.

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